Je reviens te chercher, de Guillaume MUSSO
Extrait de la quatrième de couverture : « Dépêchez-vous de vivre, dépêchez-vous d’aimer. Nous croyons toujours avoir le temps, mais ce n’est pas vrai. Un jour nous prenons conscience que nous avons franchi le point de non-retour, ce moment où l’on ne peut plus revenir en arrière. Ce moment où l’on se rend compte qu’on a laissé passer sa chance… »
Ethan, Céline, Jessie.
Un homme, une femme, une enfant.
Trois personnages au bord du gouffre.
Qui vont se croiser, se détruire et s’aimer.
Ont-ils déjà franchi le point de non-retour ?
Il leur reste 24 heures pour tout changer.
Mais l’amour peut-il vaincre la mort ?
Un mystère intense
Un amour en danger
Un dénouement stupéfiant
Mon avis : Bon, commençons par le commencement. C'est un livre de Musso, et qui dit Musso dit univers guimauve, rebondissements, aspects fantastiques, bons sentiments, etc. De plus, passer d'un bouquin comme Cendrillon d'Eric Reinhardt à Je reviens te chercher peut provoquer une impression de Jet lag, tant les univers sont différents. Mais je dirais que lire un bouquin de Musso, c'est comme boire une bière quand il fait chaud, c'est rafraîchissant, on sait que ce n'est pas un bon bordeaux, mais comme on n'a pas forcément envie de boire un grand cru à ce moment-là, ça passe très bien. En effet, le style de Musso a beau être décrié par la critique, force est de constater que sa recette fonctionne toujours bien : l'intrigue est efficace, même si elle se résume toujours aux mêmes ficelles, les personnages sont toujours attachants, même s'ils sont des copier coller des romans précédents. Et le dénouement stupéfiant, selon l'éditeur, je dirais qu'il ne faut pas non plus prendre les lecteurs pour plus bêtes qu'ils le sont, hein ? Le dénouement est toujours plus ou moins celui que l'on n'est pas supposé attendre ! Donc même si ce n'est pas de la littérature pour certains, j'avoue que je me laisse toujours bercer par ses romans, que je continuerai à lire avec plaisir, ne serait-ce que pour les citations, toujours très marquantes, qui ouvrent chaque chapitre, et le plaisir de lire ces fameux "bons sentiments" si décriés mais qui font parfois défaut à nos quotidiens.