Le manoir des immortelles, de Thierry JONQUET
Extrait de la quatrième de couverture : Pauvre Numéro 52 ! Il se promène, insouciant, satisfait. Il ignore que dans l'Empire des Morts, Hadès le guette, l'épie. Et que bientôt, il traversera les eaux noires du Styx pour venir le tuer. Comme il a tué Numéro 28. Comme il a tué Numéro 42. Et là-bas, dans le manoir, Lola, dédaigneuse de ces querelles, dort.
Mon avis : Une fois n'est pas coutume, je n'ai pas accroché avec cette lecture. Je sais que certains pensent que trop de Jonquet ces derniers temps a dû me nuire... Eh non, car j'ai beaucoup apprécié les deux prochains dont je vous parlerai cette semaine, avant ma pause Jonquet. Donc, le manoir des immortelles est certes un bon petit polar, dont la recette est classique : un tueur, assez pervers pour dégommer ses victimes à la faux, mais pas assez malin pour ne pas se faire repérer assez vite ( en même temps, le roman est très court ! ). Je n'ai pas vraiment accroché avec le policier Salarnier, qui, malgré tous ses malheurs, n'a pas réussi à m'émouvoir. Je reste donc sur ma faim avec cette lecture, même si j'en ai beaucoup aimé la fin. Non, je n'ai pas de coeur, c'est certainement ce que ceux qui liront ce billet penseront s'ils connaissent cette fin. Sinon, Pimprenelle a évoqué cette lecture cet été : voici ce qu'elle en a pensé : clic